Une statue de la vierge et l'enfant, connue aussi sous le nom de « Vierge des phoquiers » se trouve entre l'église et le bord de l'eau. Œuvre fut sculptée dans les années 1950 par Félix Férioli (1878-1963) dans une poutre de chêne récupérée sur un bâtiment ancien de Gisors dans l'Eure. Elle émerge d'un socle taillé dans un rocher à même la masse . En 1958, Marc Péchenart, alors directeur de la SIDAP (Société Industrielle des Abattoirs Parisiens) nouvellement implantée à Port-aux-Français, acquit la statue auprès de la famille Férioli, dont il était un ami, et offrit l'œuvre au tout nouveau territoire des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), en souvenir de son mariage avec Martine Raulin célébré quelques mois plus tôt, le 16 décembre 1957, sous le hangar de la société dirigée par son époux. Le jour même de la cérémonie Mme Péchenart devint la marraine du futur sanctuaire dont elle posa la première pierre.
Bienvenue sur le blog officiel du district de Kerguelen, un des cinq districts des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Ce blog est tenu par le chef de district depuis la base sur l'île de Grande Terre. Bonne lecture !
vendredi 20 février 2015
Notre Dame des Vents
Elle a été construite de 1957à 1958
sous la férule d'un prêtre-ouvrier, le père André Beaugé
et domine la base, soumise aux vents violents de l'Ouest. Son architecture est
sobre et dépouillée. Petit bâtiment en ciment, de forme rectangulaire, blanc à
toit plat. Des vitraux assez étroits, de forme rectangulaire ceinturent la
partie haute du bâtiment et devant l'entrée, une structure de piliers en béton
est surmontée d'une croix.
Une statue de la vierge et l'enfant, connue aussi sous le nom de « Vierge des phoquiers » se trouve entre l'église et le bord de l'eau. Œuvre fut sculptée dans les années 1950 par Félix Férioli (1878-1963) dans une poutre de chêne récupérée sur un bâtiment ancien de Gisors dans l'Eure. Elle émerge d'un socle taillé dans un rocher à même la masse . En 1958, Marc Péchenart, alors directeur de la SIDAP (Société Industrielle des Abattoirs Parisiens) nouvellement implantée à Port-aux-Français, acquit la statue auprès de la famille Férioli, dont il était un ami, et offrit l'œuvre au tout nouveau territoire des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), en souvenir de son mariage avec Martine Raulin célébré quelques mois plus tôt, le 16 décembre 1957, sous le hangar de la société dirigée par son époux. Le jour même de la cérémonie Mme Péchenart devint la marraine du futur sanctuaire dont elle posa la première pierre.
Une statue de la vierge et l'enfant, connue aussi sous le nom de « Vierge des phoquiers » se trouve entre l'église et le bord de l'eau. Œuvre fut sculptée dans les années 1950 par Félix Férioli (1878-1963) dans une poutre de chêne récupérée sur un bâtiment ancien de Gisors dans l'Eure. Elle émerge d'un socle taillé dans un rocher à même la masse . En 1958, Marc Péchenart, alors directeur de la SIDAP (Société Industrielle des Abattoirs Parisiens) nouvellement implantée à Port-aux-Français, acquit la statue auprès de la famille Férioli, dont il était un ami, et offrit l'œuvre au tout nouveau territoire des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), en souvenir de son mariage avec Martine Raulin célébré quelques mois plus tôt, le 16 décembre 1957, sous le hangar de la société dirigée par son époux. Le jour même de la cérémonie Mme Péchenart devint la marraine du futur sanctuaire dont elle posa la première pierre.
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